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CHRONIC TOWN -
1982
MURMUR -
1983
RECKONING -
1984
FABLES OF THE RECONSTRUCTION -
1985
LIFES RICH PAGEANT -
1986
DEAD LETTER OFFICE -
1987
DOCUMENT -
1987
EPONYMUS -
1988
GREEN -
1988
OUT OF TIME -
1991
THE BEST OF R.E.M -
1991
AUTOMATIC FOR THE PEOPLE - 1992
R.E.M. SINGLES COLLECTED - 1994
MONSTER -
1994
NEWS ADVENTURES IN
HI-FI - 1996
R.E.M. IN THE ATTIC -
1997
UP -
1998
REVEAL -
2001
INEDITS / B-SIDES -
1980/2002



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Les Paroles

CHRONIC TOWN
IRS - SP 70502 (Aout 1982)




Les Singles

MURMUR
IRS - CD 70014 (Avril 1983)




Les premiers murmures d'un petit groupe qui allait devenir énorme. Nom énigmatique, pochette qui montre du lichen noyé dans la brume : les jeunes R.E.M. s'y entendaient pour entretenir le mystère. A l'époque, en 1983, la mode est aux synthés, aux clips et aux cheveux peroxydés. Toute une génération d'étudiants, qui ne se reconnaissent pas dans le miroir que lui présentent MTV et les radios adultes, va choisir R.E.M. comme modèle. Leurs guitares arpégées, leurs harmonies de voix et l'humilité de leur démarche semblent d'abord les rapprocher du folk-rock des années soixante et de groupes comme les Byrds. Mais, à y regarder de plus près, le R.E.M. des débuts est incomparable : le timbre à la fois lancinant et décidé de leur chanteur Michael Stipe, la poésie décalée de ses métaphores, la sécheresse de la rythmique, tout ceci est original et n'a rien à voir avec une quelconque nostalgie mal assumée. R.E.M. venait de nulle part et cela a sans doute fait son succès quand l'Amérique de Reagan était si sûre d'elle-même et si prévisible


Les Singles

RECKONING
IRS - CD 70044 (Avril 1984)




Les Singles

FABLES OF THE RECONSTRUCTION
IRS - IRSD-5592 (Juin 1985)




Le grand disque paranoïaque de REM produit par le nabab folk Joe Boyd (Nick Drake, Richard Thompson). Les quatre d'Athens (Georgie) se sont exilés à Londres pour enregistrer cet album, en plein hiver. Ils ont froid, très froid même, et sont taraudés par le mal du pays. Fables Of The Reconstruction devient alors peu à peu un disque dur, agressif, moins aérien que les deux précédents. On pense plus à Television et à Gang Of Four ("Can't Get There From Here") qu'aux Byrds. Peut-être pas le disque le plus facile de R.E.M., mais une pièce essentielle de leur discographie.


Les Singles

LIFES RICH PAGEANT
IRS - IRSD-5783 (Juillet 1986)




Après le semi-échec de Fables Of The Reconstruction, les REM décident de durcir leur son et de lui donner plus d'efficacité. Ils partent enregistrer dans le studio de John Cougar Mellencamp avec son ingénieur du son Don Gehman, connu pour le soin qu'il accorde au son de batterie. De fait, le groupe sonne plus soudé et solide que jamais. Le travail sur les harmonies vocales est vraiment fascinant et transcende la ballade "Fall On Me", le premier single à succès extrait de l'album. L'autre single est, pour la première fois, une reprise : "Superman". Ce folk rock entraînant, emprunté au groupe des années soixante The Clique, trouve ainsi une nouvelle jeunesse plutôt agressive et donne au quatuor d'Athens une image plus accessible


Les Paroles

DEAD LETTER OFFICE
IRS - CD 70054 (Avril 1987)




Avant de partir pour Warner, REM a soldé son compte dans son ancienne maison de disques en publiant cette curieuse compilation. Elle regroupe des faces B de singles, des inédits, des instrumentaux et des reprises. C'est l'occasion d'entendre REM s'amuser quand ils reprennent "King Of The Road" du crooner country Roger Miller ou, plus étonnant encore, "Toys In The Attic" d'Aerosmith ! Ils sont plus sérieux, et plus inspirés aussi, quand ils jouent la bagatelle de trois classiques du Velvet Underground : "Pale Blue Eyes", "Femme Fatale" et "There She Goes Again". Notons aussi que cette réédition CD a l'avantage d'inclure le tout premier maxi du groupe, Chronic Town, devenu introuvable mais toujours indispensable.


Les Singles

DOCUMENT
IRS - IRSD-42059 (Septembre 1987)




Le disque de la reconnaissance pour R.E.M., surtout grâce à la ballade rythmée, "The One I Love", leur premier vrai tube. Document est un album énergique, même entraînant par moments, qui rompt avec l'image parfois un peu précieuse du groupe. "Exhuming McCarthy", en dépit de son sujet politique, évoque les B-52's ou la pop insouciante des années soixante. "It's The End Of The World As We Know It (And I Feel Fine)", l'autre succès du disque, est un folk rock très rapide, sur lequel le débit saccadé de Michael Stipe rappelle le Dylan de "Subterranean Homesick Blues". En mélangeant sur cette chanson les noms de Lenny Bruce, Leonid Brejnev, Lester Bangs et Leonard Bernstein (tous en initiales L et B !), R.E.M. conserve une touche intello qui les différencie des autres groupes pop de l'époque


Les Paroles

EPONYMUS
IRS - IRSD-6262 (Octobre 1988)




Les Singles

GREEN
Warner - 9 25795-2 (Novembre 1988)




Avec Green, les musiciens de REM gravissent une marche de plus vers le succès planétaire. Pour leur premier album sur la major Warner, ils se lancent dans l'écriture de chansons pop simples et immédiates ; avec bonheur, puisque la plus connue d'entre elles, "Stand", rentre dans le Top Ten américain. Ils n'ont pas pour autant perdu leur lucidité décalée et on entend Michael Stipe chanter ce refrain bizarre dans "Pop Song 89" : "Doit-on parler de la pluie et du beau temps ou du gouvernement ?" On remarque, enfin, trois ans avant "Losing My Religion", l'arrivée de la mandoline et du violoncelle : deux instruments acoustiques rares dans le rock et que REM utilise avec beaucoup d'élégance et de sobriété.


Les Singles

OUT OF TIME
Warner - 9 26496-2 (Mars 1991)




En optant pour un titre comme Out Of Time, REM choisit d'échapper aux repères du temps. Comme si l'époque l'avait entendu, c'est aussi avec cet album que le groupe accédait au statut de superstar planétaire. Et sans renier sa base de fans conquis par un travail de fourmi, d'inlassables tournées et d'albums affranchis de toute compromission. Puis est arrivée l'année 1991, et avec elle, ce Out Of Time où les quatre Georgiens vont prendre des paris inattendus. Comme celui d'ouvrir le disque par une composition ("Radio Song") où le rappeur KRS-1 se livre à une prestation imprévisible. Le ton est donné et, de surprise en surprise, REM réinvente REM "Losing My Religion" n'est pas la moindre des réussites dans ce domaine, véritable scie qui restera comme une des chansons emblématiques du groupe, avec "Shiny Happy People", l'autre méga-hit du disque. On trouve là la pimpante Kate Pierson, des B-52's, autre formation culte d'Athens, la petite ville de Georgie que REM ne quittera jamais. Et ce "Out Of Time" prend des allures de disque de pop tentaculaire, avec des rythmiques funky, des arrangements de musique de chambre et une curiosité plus que jamais revendiquée par les quatre artistes, au sommet de leur inspiration collective. Avec une figure de proue incontestée en la personne du chanteur Michael Stipe, véritable tragédien du rock'n'roll.


Les Paroles

THE BEST OF R.E.M.
IRS - DMIRH 1 (Septembre 1991)




Les Singles

AUTOMATIC FOR THE PEOPLE
Warner - 9 45055-2 (Octobre 1992)




L'album -avec Out of Time- qui a propulsé REM au rang de méga star internationale du Rock.
C'est principalemement "Everybody hurts" qui a fait l'unanimité parmi les critiques, aussi bien pour le morceau en lui même, que pour le clip. Un travail vocal de Michael Stipe impressionnant, ainsi qu'un accompagnement musical inégalé ont fait craquer les foules dans le monde entier.
On trouve aussi sur cet album des chansons peut être moins connues que Everyboby Hurts, mais toutes aussi bonnes:
'Drive', 'Monty got a raw deal', 'Man on the Moon' (*excellent*), 'Nightswimming' et 'Find the River' (pour moi la meilleure chanson que REM ait jamais écrite) en sont autant d'exemples..
Peut être le plus impressionnant est il que cet album ait été livré dans la foulée de l'un des meilleurs albums de tous les temps: "Out of Time". Une preuve que REM ne s'est pas reposé sur ses lauriers, mais a au contraire travaillé dur pour assoir définitivement sa notoriété.
Plusieurs thèmes pour cet album, mais tous (ou presque) ont en commun le fait d'être une complainte longue et harmonieuse contre le Temps qui passe (Find the River), l'amérique d'aujourd'hui 'souillée' par Reagan et Bush (Drive - Theme que l'on retrouve plus ou moins dans l'inedit 'REVOLUTION' joue pendant le Monster Tour 95), etc...
Il est d'ailleurs interessant de rapprocher cet album de 'in utero' (Nirvana) car tous deux semblent avoir les memes preoccupations et les memes themes, l'album de Nirvana etant ouvertement agressif et sans pitie, alors que AFTP est beaucoup plus calme musicalement.


Les Paroles

R.E.M. SINGLES COLLECTED
IRS - 7234 8 29642 2 3 (Septembre 1994)




Cette compilation de singles européens de REM a la particularité de présenter à la fois les faces A et B des dits singles. Souvent, les compilations de tubes font l'impasse sur les titres moins connus qui les accompagnent. Mais les quatre d'Athens ne sont pas des paquets de lessive, on ne les vend pas n'importe comment. On les reconnaît autant dans une reprise de leurs copains de Pylon ("Crazy") ou dans un medley live qui inclut des vers de Peter Gabriel ("Time After Time Etc.") que dans leurs titres les plus populaires, comme le fébrile "Radio Free Europe" ou le dylanien "It's The End Of The World As We Know It".


Les Singles

MONSTER
Warner - 9 45740-2 (Septembre 1994)




Un des albums les plus controversés de REM, diversement apprécié par les fans.
La guitare électrique poussée à saturation est l'instrument principal utilisé, ce qui donne à ce disque un son puissant (cf. "What's the frequency, Kenneth", "Crush with Eyeliner", "Let me in" et autres...). Il est clair que cet album tranche radicalement avec le style sobre, mélancolique, accoustique de "Automatic for the people". Pourtant, rien ne semble avoir été laissé été au hasard dans cet album. Le "désordre" accoustique apparent est en fait tout à fait organisé. On peut dire qu'au niveau des arrangements, et de la profondeur de ceux ci, Monster présente des similitudes avec Automatic.
Le thème général de l'album est sans ambiguité: le sexe et la façon dont les gens s'en servent, et le détournent. Il suffit d'écouter "crush with eyeliner" (avec les paroles sous les yeux) pour s'en apercevoir. Mais le sexe est aussi un prétexte pour Michael Stipe d'aborder un de ses thèmes favoris: l'identité (cf. I took your name). "We all invent ourselves" (nous nous inventons tous) résume la philosophie exposée.
A ne pas manquer au passage: "Let me in", superbe morceau, puissant, écrit en mémoire (en hommage?) de Kurt Cobain (chanteur de Nirvana) peu après sa tragique disparition (suicide). De toute évidence, Michael Stipe était il proche de "Mr. Fisherman" ou du moins, se sentait il proche de lui... Des rumeurs ont même circulé selon lesquelles REM et Nirvana auraient eu des projets communs pour l'avenir...
Dernière chose, suffisamment rare pour être souligné: la sortie de Monster a été suivie d'une tournée mondiale de REM (Monster World Tour '95). C'est notamment pendant celle-ci que le batteur du groupe (Bill Berry) a été victime d'une hémorragie cérébrale pendant le concert de Lausanne (Suisse). Il en est heureusement sorti indemme.


Les Singles

NEW ADVENTURES IN HI-FI
Warner - 9 46320-2 (Septembre 1996)




Sorti en Septembre 1996, cet album au titre ironique marque pour moi plutôt un retour aux sources de REM, après l'épisode "Monster". On retrouve, dans cet album, beaucoup plus d'instruments que dans Monster, mais REM ne renie pas complètement la guitare saturée (cf. Undertow).
REM poursuit donc son exploration des differents styles musicaux entreprise avec Monster, mais comme le soulignait un critique du Financial Times (article present dans la section news de ce serveur), le nouveau style REM n'est pas une relle reinvention du style REM des debuts, mais plutot une amplification de celui-ci.
Ecrites principalement pendant le Monster tour '95, et enregistrées directement "live", ou pendant les soundchecks, les 14 morceaux de cet album ont toutes des styles légèrement différents. Une chose est sûre, cet album n'est pas commercial. REM n' a plus besoin de cela. Le contrat de 80 millions de Dollars avec les Warner Bros. a définitivement mis le groupe à l'abri d'éventuels problèmes financiers.
Le fait de ne pas faire de commercial permet alors à REM de s'exprimer pleinement, tels qu'ils sont réellement. Le but n'est pas de vendre, mais d'être vrai. L'album ne contient pas de méga tube à la "Losing my religion", mais plutot des chansons complexes, aux textes intelligents qui necessitent un certain temps d'adaptation avant de se reveler pleinement.
Le premier single extrait de cet album est "E-Bow the letter", avec notamment Patti Smith en backing vocals. La signification de la chanson est -comme presque toujours- énigmatique. Il y serait question d'une lettre ecrite par Michael Stipe, mais jamais envoyee, destinee a son idole Patti Smith. C'est certainement la chanson la plus profonde de tout l'album. Michael Stipe y voit l'un des meilleurs textes qu'il ait jamais ecrit, tout en se gardant bien de donner toute interpretation de la chanson. Le fameux 'Aluminum, it tastes like fear' (l'aluminium a le gout de peur) evoquerait le gout etrange qu'on a l'impression d'avoir dans la bouche dans les moments suivant une grande frayeur...


Les Paroles

R.E.M. IN THE ATTIC
Capitol/EMI - 72438-21321-2-7 (Mars 1997)




Les Singles

UP
Warner - 9 47112-2 (Octobre 1998)




Cette chronique est inutile. On sait que les albums de REM réclament un délai de maturation supérieur à la normale, interdisant les sentences bâclées. Ici même, un confrère se troua admirablement à propos d'Automatic for the people, album ô combien réévalué depuis et qui pointe sans conteste parmi les rares vrais chefs-d'oeuvre de la décennie. Annoncé comme le successeur légitime d'Automatic après Monster et New adventures in hi-fi, pour lesquels un délai suffisant de réflexion n'a finalement jamais démenti la tiédeur des impressions initiales , Up se situe a priori dans le haut du baromètre de la production de REM. Seul le temps en déterminera la place exacte. Cette chronique est inutile, mais elle peut donner des indices. Le titre d'intro, Airportman, livre par exemple l'une des clés importantes de l'album : évidente référence à Brian Eno, l'homme des Music for airports, cette froide polyphonie de bruitages électroacoustiques sur laquelle Stipe pose une voix anormalement neutre laisse entrevoir une rupture assez franche avec le ton ouvertement rock des deux précédents albums. Up rend ainsi visibles des greffes directement prélevées dans ces réservoirs à chair sonore que sont les Before and after science, Another green world d'Eno ou les albums berlinois de Bowie la matrice de Why not smile est quasiment calquée sur Heroes et ramenées sur les terres traditionnelles de REM.
Amputé du batteur Bill Berry, dispensé de la ceinture de sécurité Scott Litt, REM réapprend à marcher de travers, sur trois pattes, en tournant le dos aux tracés confortables du rock adulte américain dont il a contribué à ériger quelques-uns des fondements. Tortoise et la faction expérimentale de Chicago, comme le regain d'intérêt général pour le krautrock teuton, ne sont visiblement pas tombés dans l'oreille d'un sourd : Peter Buck a même consenti à sacrifier partiellement sa collection de guitares vintage au profit d'un nouvel arsenal de machines d'obédience électronique, conférant à certains titres de Up un côté Autobahn for the people, comme un Kraftwerk qui aurait pris visage humain. Humain, parce que chez REM la machine n'est pas à la veille de rendre l'homme docile : vibraphones douillets, pianos et cordes, quantité de détails acoustiques trouvent leur place au soleil malgré le brouillard ambiant. Humain également, parce qu'il y a chez REM un facteur naturel indélébile qui s'exprime à travers le phrasé de Stipe. Ce type pourrait chanter n'importe quoi avec n'importe qui d'ailleurs, il l'a déjà fait , son timbre renverrait aussi sec à l'intimité de REM, à ses fondations trop profondément ancrées pour varier au moindre changement de la température extérieure.


Les Singles

REVEAL
Warner - 9 47946-2 (Mai 2001)




Avec ce treizième album, REM se révèle être, son titre y invite, un groupe qui vieillit plutôt bien, comme un grand cru classé. Même s'il n'y a pas de surprise exceptionnelle à attendre de la formation et de ses réalisations bien que son leader, Michael Stipe, sache se montrer ouvert à l'avant-garde des productions électroniques du label Warp, Reveal accroche, prolongeant le précédent Up, usant de machines pour seconder l'acoustique d'un combo devenu trio après que le batteur Bill Berry l'eut quitté et dont les guitares de Peter Buck évoquent toujours avec la même ferveur Roger McGuin et les Byrds. Bien que tendu, l'ensemble s'avère plus apaisé que Up, comme en quête d'une spiritualité nouvelle. L'absence du batteur originel n'est pas ressentie comme une blessure mais bien au contraire comme un nouveau tremplin propice à l'utilisation savante de samples de percussions dont certains ont été apportés par Joey Waronker que l'on connaît pour avoir accompagné Beck. Les trois premiers titres dont le superbe "She Just Wants To Be" sont du grand REM et l'architecture de l'album, puissamment charpentée, apparaît progressivement, au fil des écoutes. Reveal est un classique de la trempe du Kid A de Radiohead. Ni plus, ni moins. Et c'est déjà beaucoup


Les singles

INEDITS / B-SIDES
IRS / Warner / Capitol (1980/2002)





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